Réveil de la conscience :
[Par Sylvie Simon, dialogues sur l’avenir du monde…]
Pourquoi notre médecine persiste-t-elle à soigner l’homme comme s’il n’était qu’un bloc de cellules plus ou moins inertes ou une machine dont il faut parfois réparer des pièces détachées, au lieu de le traiter dans sa globalité, c’est à dire son corps, mais aussi ses émotions, ses états d’âme ?
Seuls sont pris en compte les effets, les manifestations de la pathologie, mais rarement ses origines, ce qui conduit à une course sans fin et à l’émergence de nouvelles maladies. Pourquoi se contenter d’obéir aux diktats des pouvoirs publics, manipulés par des lobbies financiers ?
Il est évident qu’il faut reconsidérer notre approche de la vie, appréhender l’être humain sous sa forme énergétique constituée d’un ensemble de champs et soumise à des lois synergiques, et appliquer aux sciences du vivant les résultats obtenus dans le domaine des particules, principalement la notion d’hologramme qui débouche sur une vision holistique du monde.
Quant à la mort, elle permet de passer d’un niveau de conscience à un autre, de quitter un certain état pour en trouver un autre, dans un espace différent.
Toute incarnation implique une mort inéluctable de la forme physique, mais implique également une survivance au niveau champ et forme contenant les impondérables, donc le psychisme.
Elle permet à l’entité de faire le point sur ses différents concepts, ses acquis et ses erreurs, et de survivre dans le champ de lumière décrit par F.A.POPP qui correspond au corps de lumière de la grande tradition dans l’attente d’une nouvelle incarnation pour continuer son évolution.
Dans ce domaine également, nous devons changer de comportement. Pour la majorité des gens, l’angoisse de la mort engendre un refus qui en interdit l’approche objective et qui empêche de la réussir, comme souvent cette même angoisse à empêché de réussir sa vie.
Si l’univers a engendré la conscience de ses créatures, il doit lui-même être de nature consciente, ce qui conduit à cette évidence : ni l’univers, ni l’évolution ne peuvent être issus du hasard, pas plus que la conscience ne peut être enfermée dans la matière.
Nous devons rester maître de notre destin.
Nous devons faire le tri entre la véritable information et le lavage de cerveau auquel nous sommes soumis chaque jour, et essayer de retrouver notre bon sens et notre libre arbitre car, comme l’enseigne la Grande Tradition :
« si vous ne pensez pas par vous-même, c’est l’humanité qui pense pour vous ».